Genre : Yaoi, Fantastique
Éditeur : Taïfu Comics
Résumé :
« Ce que vous voulez, je le veux aussi. »
Masakado propose à Akihiko de le transformer en vampire ceci étant le seul moyen pour ne pas laisser Kazushige seul. Bien qu’il ait refusé, ses sentiments envers Kazushige augmentant de jour en jour, sa détermination commence à flancher ce qui créé un différend entre Kazushige et lui. C’est alors qu’Akihiko se retrouve à l’article de la mort suite à un accident et que la seule façon de le sauver, c’est de le transformer. Acculé à prendre une décision, Kazushige s’apprête à sucer son sang mais…
Mon ressenti :
Si les deux premiers tomes (ici et ici) m’avaient laissés un goût de « l’histoire est sympa mais il manque un truc ! « , le dernier opus de Goodbye Red beryl efface cette impression !
Atami Michinoku, après avoir montré combien il est malheureux d’être immortel quand on voit tous ses proches grandir, vieillir et mourir à travers Kazushige, montre cette fois combien le destin peut être cruel par Moronatsu.
Le passé de Moronatsu, permettant de changer le ton et le rythme du récit, n’a pas non plus permis de trancher sur la cruauté mesquine de Masakado ou une souffrance masquée causée par la solitude.
Jusqu’à la fin, le but de Masakado reste obscur. Que cela soit par culpabilité, ou par un lien métaphysique liant le vampire à celui qu’il a transformé, on ne sait pas pourquoi il rôde sans cesse autour de Kazushige.
Après avoir fait germer la graine du doute dans l’esprit d’Akihito en lui proposant de le transformer en vampire; alors que ce dernier essaie de respecter la volonté de Kazushige et de rester humain, la confrontation qui devait avoir lieu entre les deux arrivera.
La fin contenait des planches fortes en émotions, autant par la situation que par les expressions et paroles des personnages.
Ma note : 16/20