Angolmois, tome 3

Genre : Seinen

Editeur : Meian

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Afin de rendre la monnaie de leur pièce aux Mongols qui débarquent les uns après les autres à Tsushima, l’armée de l’île a lancé une attaque nocturne. Cependant, Fuheng Liu, le vice-maréchal de l’armée de conquête de l’est, un Jürchen, leur fait face avec une force prodigieuse. Jinzaburô et ses alliés se dressent face à l’adversité, mais des traitres se trouvent parmi eux…
Réussiront-ils à échapper au danger ?!

 

Mon ressenti :

Le 3e opus d’Angolmois reprend sur l’arrivée des purificateurs de l’empereur qui était une surprise permettant un virage inattendu dans la situation désespérée de l’attaque de nuit.

Les pertes humaines s’allongent et s’entassent dans les deux camps, peu de temps à soigner les blesser et à appliquer du baume au cœur et moral des troupes, les mongols traquent les japonais sans relâche et leurs laissent de funestes surprises et cadeaux, mettant au défi de se sortir de situations inextricables.

Ce qui oblige Ginzaburo à faire preuve d’ingéniosité en créant de nouvelle arme comme le yari, ou tirer profit de la nature comme les sentiers escarpés pour attaquer, prouvant de nouveau qu’il est plein de ressources et qu’en plus d’être un fier guerrier, il est également un fin stratège.

Mais les mongols, en plus d’être en supériorité numérique et déterminés, réservent de l’artillerie artisanale, eux aussi montrant qu’ils ne sont pas facilement impressionnable. Comment se sortira tout ce beau monde face à un bombardement si rapproché ?

La suite nous le dira !

Ma note : 15/20

Une réflexion sur « Angolmois, tome 3 »

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