Genre : Shonen
Editeur : Ki-oon
Résumé : 
Le combat continue entre Overhaul et Izuku. Ce dernier tente tant bien que mal de protéger la petite Eri accrochée à son dos, tandis qu’elle utilise son alter sur lui de façon incontrôlable.
Izuku a alors une idée pour contrer les effets du pouvoir d’Eri: il décide d’utiliser le One For All à 100%..
Mon ressenti :
Waow….quel tome ! Quelle émotion ! Énorme baston, très grosses pertes, l’auteur ne fais plus dans la dentelle.
Enfin ça…c’est dans la première partie du tome, car bien que l’auteur impose un gros suspense avec un serviteur d’All for one en liberté nommé Gigantomachia, quelque chose me dis qu’on ne le verra pas de sitôt.
D’ailleurs, le reste du tome est centré sur les rattrapages de licences provisoires et c’est un immense gag ! Je n’ai fait que rire. L’auteur a dissipé tous les ténèbres du début du tome avec le reste. Le petit qui parlait en levant la tête me tuait trop.
Chose appréciable, il y a également eu des prises de conscience et des débuts d’améliorations de certaines relations. La bonne volonté y est…c’est déjà un immense pas.
Dis moi, ancien numéro un…C’est quoi, au juste, être le symbole de la paix ?
Et enfin, le tome se termine sur une note de légèreté avec la partie concernant Aoyama qui m’a mis les larmes aux yeux de rire ! Y’a vraiment rien qui va avec ce type. Je l’adore !
Ma note : 16/20
Le tempo des livres 
Pareil que toi, j’ai beaucoup aimé ce tome, notamment avec le fait qu’une partie soit riche en émotions et une autre plus détendue, plus quotidienne.
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Je pense que le tome suivant sera très léger aussi, mais je pense qu’à moins que Aoyama fasse encore des siennes, je ne rirai pas tant.
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J’espère bien que le tome 19 sera léger, cet aspect de MHA me manquait après ce long arc sombre ! J’aime bien l’alternance entre les deux en fait, je sais que certains reprochent cette construction répétitive, mais moi ça me plait.
Même si j’avoue, j’aimerai encore plus de vie quotidienne, histoire de faire un peu un truc à la Harry Potter, avec plus de cours que d’éléments sombres.
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Perso, je ne reproche pas cette construction narrative, mais je n’en raffole pas non plus, et pour le coup, je préfère action + infos que vie quotidienne, ça me donnerait trop la sensation de lire des tomes sans éléments majeurs. Par contre, par rapport à ta dernière phrase, il y a les romans de MHA si tu veux, supervisé par Kohei Horikoshi mais écrit par une autre car justement, il avait dit qu’il lui était impossible de montrer le quotidien des élèves, donc le roman s’en charge.
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Ca doit être sympa dans l’idée, mais j’avoue que je ne suis pas sur de vraiment réussir à m’intéresser à la transcription de cet univers en roman. À voir, peut-être un jour !
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