Genre : Shonen
Editeur : Komikku
Résumé :
Tout n’est pas parfait. Mais au moins, Chisé a réussi à s’accepter et à comprendre un peu mieux Elias. Cartaphilus est tombé dans un profond sommeil et alors que la situation s’est apaisée, les magiciens viennent voir la jeune sorcière pour lui proposer d’intégrer le collège de magie.
Voilà Chisé et Elias précipités dans un lieu tout nouveau pour eux, dissimulé dans les sous-sols de la British Library, là où les apprentis magiciens étudient, découvrent et grandissent… Mais le non-humain va-t-il trouver sa place parmi tant d’humains ?
Mon ressenti :
Le tome 10 de The ancient magus bride nous amène retrouver Chise et Elías au collège, ce qui mènera à de nouvelles rencontres, mystérieuses ou bonnes et permettra à Elías de découvrir encore d’autres émotions comme la peur ou le contentement.
La sorcellerie n’y étant pas enseigné, les fondamentaux de cet aspect magique sera rappelé via l’enseignement des élèves étudiant la magie que Elías supervisera.
Ainsi, de nouvelles créatures apparaissent et de nouveaux mystères aussi, aussi bien concernant la malédiction dragonique de Chise, l’œil de Cartaphillus, ou encore celui entourant le garçon voulant apprendre la sorcellerie mais qui ne peut pas en pratiquer car selon les voisins son sang sent la « rouille »… Reste à savoir ce que cela signifie et pourquoi parmi les étudiants, bien qu’il n’y ait ni agressivité ni hostilité, certains ont à l’œil Chise et Elias.
La fin du tome laisse entendre un changement, Simon le prêtre qui surveille Elías se verra critiquer de sa passivité et une bonne sœur bien étrange semble réserver d’autres surprises.
Ma note : 16/20
Un de ces jours il faudrait vraiment que je commence ce manga 😍
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cède ! Il a tout pour plaire 😉
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