Everything, Everything

Genre : Young-adult, Romance

Editeur : Bayard

Résumé everything-everything-941784-264-432.jpg

Ma maladie est aussi rare que célèbre, mais vous la connaissez sans doute sous le nom de « maladie de l’enfant-bulle ». En gros, je suis allergique au monde. Je viens d’avoir dix-huit ans, et je n’ai jamais mis un pied dehors.

Un jour, un camion de déménagement arrive. Je regarde par la fenêtre et je le vois. Le fils des nouveaux voisins est grand, mince et habillé tout en noir. Il remarque que je l’observe, et nos yeux se croisent pour la première fois.

Dans la vie, on ne peut pas tout prévoir, mais on peut prévoir certaines choses. Par exemple, je vais certainement tomber amoureuse de lui. Et ce sera certainement un désastre.

Mon ressenti : 

Je n’ai pas vu le film, mais avoir lu ce livre ne m’en donne pas envie non plus.

Le style d’écriture de l’auteur m’a laissé quelque peu dubitative, au début. Mais c’était original (excentrique je dirai, plus précisément) et je n’ai rien contre ce genre de petites touches, donc pourquoi pas. ça « rehaussait » l’écriture très simple et banale de l’auteure.

Et donc, j’ai lu; j’ai vu, et je n’ai rien ressenti.

Tout est trop beau, simple, merveilleux et fantastique dans la romance de ce livre. Je veux bien mettre cela sur le compte de l’inexpérience de Maddy avec les relations humaines, mais quand-même…le lien romantique établi entre les personnage est si rapide que c’en est époustouflant.

Très linéaire et fade pendant une bonne partie du livre, il n’y avait aucun intérêt réel pour moi dedans. Juste une succession d’événement pas un brin intéressant. La scène qui aurait dû me mettre une gifle de surprise, a été comme un pétard mouillé. Pas d’étincelles donc.

Dès que j’ai lu l’histoire de la maladie de la fille (car je n’avais pas lu le résumé, évidemment) et vu la protection de sa mère, je me suis dit « j’espère qu’ils vont pas nous faire un truc du genre qu’elle n’est pas malade au final » …Je vous laisse deviner ce qu’il en est vraiment…

Pour parcheminer tout ça, en plus d’avoir trouvé de nombreux défauts à cette Maddy égoïste, ingrate (oui, abandonner sa mère pour un garçon, c’est ingrat), et capricieuse, l’histoire ne m’a pas touché.

Affinités :

Il peut plaire aux personnes aimant les romances légères et pas forcément très approfondies, à ceux qui ont aimé le film, et aux autres aimant les histoires simples sans enjeux majeurs.

9 réflexions sur « Everything, Everything »

  1. J’ai lu et je l’ai adoré : il figure dans mes coups de cœur. Mais évidemment, il a plein de défauts. Sur le coup, j’ai choisi de ne pas les voir et de me laisser porter.
    Quant à l’adaptation, je l’ai vu en pointillés. Je n’ai pas trop accroché pourtant il n’y a pas trop d’écart entre le film et le livre.
    Je précise tout de même que j’ai largement vu arriver la chute.

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    1. Pourquoi tu n’as pas aimé l’adaptation ? Surtout si elle respectait l’œuvre j’aurai pensé que tu aurai adoré. Oui, la chute est prévisible, bien que certains ne l’aient pas vu (ce qui est bien pour eux, ils ont pu encore plus accroché à l’histoire) mais moi, les romances qui se tissent très vite, tu as dû le remarquer à force de voir mes avis mdr, je n’adhère pas. Je ne demande pas 50 pages de développement mais ça c’est trop simple.

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      1. J’ai aussi de plus en plus de mal avec la vitesse des romances – mais dans un cadre jeunesse, ça peut aller vite – on peut confondre les sentiments qu’on éprouve etc…
        Grand mystère concernant l’adaptation : je ne me suis même pas posée devant, je faisais autre chose en même temps. Pas captivée du tout.

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  2. Pour une fois, j’ai vu le film sans penser à rien, donc je n’ai pas vu ta pire crainte arriver concernant la vérité de la maladie. xD Mais quand c’est arrivé, je me suis dit « wow, c’est tellement gros… comment je suis passée à côté ?! ».
    Je suis moins tranchante que toi (mais cela ne concerne que le film, car j’ai lu en diagonale le livre lorsque je l’ai vu à la médiathèque -je voulais voir si le film était bien adapté-) : j’ai bien aimé la romance et l’ambiance. Certes, c’est le final est un peu abusé, mais quand on est dedans, on le voit tardivement venir. (Et puis j’étais en admiration devant les cheveux de l’actrice. *x*)

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    1. Peut-être qu’en ayant vu le film avant, l’ambiance aurait fait le tout passer comme une lettre à la poste (parce que en film y’a les musiques, et tout et tout), et que la romance m’aurait plût, mais dans le livre, l’ambiance pendant un bon moment, c’était le « blanc » et le « silence ». Je ne sais pas trop comment décrire ça. Et vu qu’il ne se passait rien, j’ai ressenti les précipitations. L’actrice a de beaux cheveux oui 😉

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