Genre : Shonen
Editeur : Glénat
Résumé : 
Takemichi est parvenu à sauver Draken et à changer le passé. Mais alors qu’il s’apprête à savourer ses retrouvailles avec Hinata, l’impensable se produit de nouveau.
Furieux d’être encore une fois le jouet du destin, Takemichi décide de combattre le mal par le mal…
Mon ressenti :
Après la fin riche en promesses et en énormes changements du tome précédent, ce 5e opus est plutôt une transition pour préparer le terrain.
Takemichi a compris qu’il devrait ébranler les fondations du Toman (abréviation de Tokyo Manjikai) en se hissant à sa tête et ce projet à l’air si utopique que Naoto ne parviens pas à y croire, alors même qu’on sait qu’il veut sauver sa sœur qui malgré les changements de la timeline, se fait toujours tuée par le Toman.
Naoto place tout de même un fol espoir en ce jeune Takemichi dont la seule qualité est son bon fond et sa détermination, car côté force de frappe, de nouveau, il va s’en prendre plein la poire.
Le pire qui aurait pu se produire comme scénario arrive : Kisaki, la gangrène du Toman qui va entrainer les dérives du gang est nommé chef de 3e brigade pour remplacé celui qui s’était fait arrêter par la police, Peyan. Ceci pique l’intérêt du lecteur : on se demande comment Takemichi parviendra à sauver le Toman en proie aux flammes de la trahison de certains membres fondateurs et fera en sorte que Kisaki soit renvoyé de son nouveau poste. Sachant qu’une guerre imminente entre le vall’alla et le Toman peut éclater.
Sur un compte à rebours au délai inconnu, Takemichi va découvrir ce qui nourri cette haine contre Mickey et les origines du Toman.
Ma note : 15/20
Teaser :
Le tome 6 de Tokyo Revengers sortira le 4 mars 2020 chez Glénat !
Le tempo des livres 