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Un palais d’épines et de roses – une histoire au parfum de la belle et la bête

Genre : Fantasy, Young-adult

Éditeur : La Martinière

Résumé :

En chassant dans les bois enneigés, Feyre voulait seulement nourrir sa famille. Mais elle a commis l’irréparable en tuant un Fae, et la voici emmenée de force à Prythian, royaume des immortels.

Là-bas, pourtant, sa prison est un palais magnifique et son geôlier n’a rien d’un monstre. Tamlin, un Grand Seigneur Fae, la traite comme une princesse.

Et quel est ce mal qui ronge le royaume et risque de s’étendre à celui des mortels ?

A l’évidence, Feyre n’est pas une simple prisonnière. Mais comment une jeune humaine d’origine aussi modeste pourrait-elle venir en aide à de si puissants seigneurs ?

Sa liberté, en tout cas, semble être à ce prix.

Mon ressenti :

J’ai essayé Un palais d’épines et de roses de Sarah J.Maas car de nombreux lecteurs (et une libraire !) n’ont cessé de me le recommander, m’avertissant toutefois que la romance était non négligeable.

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Le chant des ronces : Contes de minuit et autres magies sanglantes

Genre : Jeunesse

Editeur : Milan

Résumé :

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Embarquez dans un voyage vers des terres sombres et dangereuses, peuplées de villes hantées et de bois affamés, de monstres bavards et de golems en pain d’épices, où la voix d’une sirène peut invoquer une tempête mortelle, où les rivières font de terribles promesses d’amour…

Ayama et le bois aux épines : Une jeune fille est envoyée négocier l’avenir de son royaume avec un terrible monstre.

Le renard trop rusé : un renard compense son apparence disgracieuse par une intelligence hors du commun, qui pourrait bien lui jouer des tours.

La sorcière de Duva : Dans un village frappé par un hiver perpétuel, les jeunes filles se mettent à disparaître mystérieusement.

Petite lame : Une jeune fille découvre que les souhaits de son père à son encontre et ses propres envies prennent deux directions opposées.

Le prince soldat :Une réécriture inquiétante de Casse-Noisette.

Quand l’eau chantait le feu: Deux Sild aux voix merveilleuses quittent leur royaume marin pour la terre où elles rencontrent les mystérieux Grisha.

Mon ressenti : 

J’ai acheté ce livre après avoir lu l’avis de Saiwhisper (coucouuu) et parce que l’idée de livre objet avec ces contes me faisait vraiment envie (en plus la couverture est sublime-superficielle vie). Retrouvez sa chronique ici.

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Barbe bleue

Genre : Littérature belge

Editeur : Le livre de Poche

Résumé : barbe-bleue-390173-264-432.jpg

Saturnine cherche une colocation car vivre sur le canapé du tout petit appartement de sa copine, c’est bien gentil mais ce n’est pas une solution durable. C’est alors qu’elle tombe sur une offre des plus alléchantes : une grande chambre dans un super quartier et pour un loyer des plus modestes. Mais elle n’est pas la seule à postuler forcément. Etrangement, elle est la seule vraie candidate, les autres ayant juste envie de voir l’homme dont les huit précédentes colocataires ont disparu. Et en effet, c’est elle que choisit don Elemirio Nibal y Milcar pour devenir la neuvième colocataire. L’homme est étrange, parle comme dans un livre, ne sort jamais et tel Barbe-Bleue lui donne accès à tout sauf à une seule pièce dans laquelle elle ne devra jamais se rendre. Saturnine va-t-elle reproduire le schéma des huit autres femmes ? Va-t-elle disparaître à son tour ? Et ces dernières, qu’est-il advenu d’elles ? Dès le début du roman, le suspense est à son comble…

Mon ressenti  :

Enfant, je dois bien avouer que parmi tous les contes de Perrault, celui m’ayant fait pleurer était Le Petit Poucet et celui m’ayant le plus marqué était Barbe Bleu.

J’ai donc lu ce livre, qui est mon deuxième de cette auteur, après Hygiène de l’assassin, me disant qu’au titre déjà, on avait un parfum de ce que contiendrait ce livre.

Les dialogues sont vraiment ce que j’ai apprécié dans ce livre, à défaut de ne pas connaitre toutes les références culturelles qu’il y renfermaient.

Les personnages étaient simplistes je dirai, mais l’homme m’a un peu plus intéressé quand Saturnine vient dans sa chambre l’interroger.

L’idée des couleurs étaient vraiment bien. J’avoue ne pas y avoir fait attention et j’ai donc été surprise. Mais je dois dire que la fin m’a laissé mi-figue mi-raisin. La causalité de l’acte me paraissant stupide mais la finalité me satisfaisant.

D’ailleurs, cette tournure m’a rappelé celle de hygiène de l’assassin que cependant, j’ai bien plus apprécié.

Affinités : 

Ceux aimant les écrits d’Amélie Nothomb pourront être assez satisfait de cet opus. Les autres qui la découvrent pourront apprécier les répliques dynamiques et pleines de sarcasmes de chacun des personnages.

Ma note : 12/20