The Promised Neverland, Tomes 3 à 5

Genre : Shonen

Editeur : Kazé manga

Résumé du tome 3 :

L’étau se resserre autour d’Emma, Norman et Ray : Don et Gilda ont de sérieux doutes sur ce qu’ils leur ont raconté, sœur Krone continue à fouiner et la redoutable Isabella passe à l’action !

La détermination et la perspicacité des trois héros suffiront-elles pour sortir de cette situation désespérée ?!

 

Mon ressenti : 

Le début était centré sur les discussions et la mise en place de la stratégie, ce qui installe un rythme un peu lent qui va progressivement s’accélérer. Il y a une lutte psychologique dans ce tome et justement, le principal adversaire sera sœur Krone qui change de tactique et, maligne, parvient à embrouiller les jeunes génies.

Sœur Krone qui  arrive à me faire « flipper » par son physique particulier (accentué par le style graphique), aura une place importante dans ce tome. Et j’ai été agréablement surprise par la suite des événements vraiment imprévisibles et qui du coup, me font apprécier l’histoire un peu plus !

Ma note : 15/20

Le tome 4 a une couverture que j’apprécie beaucoup, en plus de son contenu !

Les machinations se renforcent et face aux obstacles, que dis-je, murs qui se placent sur le chemin de ces enfants, on se demande comment ils s’en sortiront, ce qu’ils feront pour inverser la vapeur et vraiment, comment ils mettront leur plan en action. S’ils y arriveront ou si Maman gagnera.

Autre élément important, on en apprend plus sur la construction de l’orphelinat et une fois de plus, l’ingéniosité de la chose m’a bien séduite (le contraire aurait été décevant).

Il n’y a que l’amnésie infantile concernant Ray que j’ai trouvé assez « facile »pour mener à bien l’histoire mais c’est mineur. Ce tome est vraiment très bon et riche en émotions.

Ma note : 16,5/20

La plus belle des couvertures !

J’ai beaucoup apprécié ce tome mais je m’attendais à quelque chose de complètement fou vu la vague qu’il avait soulevé.

Il y a quelques révélations assez faciles à deviner (même si ça n’a pas diminuer l’appréciation de la lecture).

Isabella est aussi au centre de l’histoire, on en apprend plus sur elle, sur sa condition d’enfant d’élevage et comment elle est devenue Maman. Et dans toute cette horreur, une compréhension peut en ressortir (bien que ceux, droit comme Emma ne pardonneraient jamais cela).

Le monde extérieur que les auteurs dévoilent progressivement est plein de mystères et regorge d’une faune et flore spéciale. J’ai mes hypothèses concernant les informations contenues dans le livre de Minerva qui tombent bien trop à pics, mais l’avenir nous dira ce qu’il en est.

Ma note : 15,5/20

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